Le Feu Henri Barbusse Resume. Au fond des tranchées putrides au fond des granges humides veillent attendent et luttent une poignée dhommes son escouade modeste échantillon dune classe dhommes jetée en enfer. Nous sommes en hiver 1915 dans le nord de la France. Merci à mon collègue Xavier Fandre professeur en CPGE scientifiques au Lycée Champollion de Grenoble qui ma fourni ce résumé et ma autorisé à le mettre en ligne sur ce blog Le feu journal dune escouade dHenri Barbusse. Ce dernier est loin du bourrage de crâne niant en particulier que la guerre moderne est une guerre de héros individuels où les hommes souffrent la plupart du temps sous le poids darmes tirés dun endroit inaccessible à leur vue mais on est là sans appel à une cessation des hostilités.
Mais quand le soir se prépare à venir dans la vallée un orage éclate sur le massif du Mont-Blanc. Lesbombardements rendent cette mission quasiment impossible et obligent les hommes à accomplir maints détoursmaintes haltes. Le narrateur raconte la vie quotidienne dune dizaine dhommes. Le Feu sous-titré Journal dune escouade est un roman de guerre autobiographique dHenri Barbusse paru sous forme de feuilleton dans le quotidien L Œuvre à partir du 3 août 1916 puis intégralement à la fin de novembre 1916 aux éditions Flammarion. A Résumé du livre. Cest en 1916 pendant son séjour dans les hôpitaux quHenri Barbusse soldat descouade de la première guerre mondiale a écrit son livre Le Feu publié par les éditions Flammarion en novembre 1916.
Les années 1915 et 1916 ont été pour Henri Barbusse décisives.
Son engagement contre le fascisme se manifeste par sa participation au mouvement Amsterdam-Pleyel fondé par Henri Barbusse et Romain Rolland. Ensuite le calme immense au soleil descend des somptueuses prairies où luisent doucement les vaches vernissées et les bois noirs et les champs verts et les distances bleues submergent cette vision éteignent le reflet du feu dont sembrase et se fracasse le vieux monde. Le roman Le Feu 1916 de Barbusse est un récit de la Grande Guerre. Les parleurs rentrent un à un en eux-mêmes préoccupés du mystère de leurs poumons du salut de leurs corps. Le silence infini efface la rumeur de haine et de souffrance du noir grouillement universel. Lescouade se dirige vers une crête quil sagit de reprendre aux Allemands.